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Carte de notes

  • Avis sur le LIVRE : Entrées secrètes sur les vallées pyrénéennes

    Ce vendredi 5 avril, PATRIM, le réseau pyrénéen des centres d’interprétation du patrimoine, lance un ouvrage intitulé «Entrées secrètes sur les vallées pyrénéennes»

    Celui-ci décrit l’engagement culturel et touristique des 8 acteurs du réseau PATRIM, au service d’une plus grande valorisation des Pyrénées transfrontalières et de leurs sentiers secrets, entre Aragon, Catalogne, petit Bearn et Midi-Pyrénées. Ce livre a l’ambition de valoriser un territoire méconnu.

    «C’est ce que notre livre cherche à illustrer, explique Pauline Chaboussou, chargée de mission patrimoine à la communauté de communes du canton d’Oust et à Carcassonne. En effet, il s’agit non seulement de faire revivre les Pyrénées du passé, mais aussi de les faire vivre au présent, en affichant un point fort incontestable: destination reconnue, les Pyrénées constituent aujourd’hui un lieu qui se prête volontiers au tourisme durable»

    La parution de cet ouvrage s’inscrit en effet dans un plus large éventail d’actions culturelles proposées par les 8 sites du réseau PATRIM: conférences, visites guidées, animations ludiques.

    De part et d’autre des Pyrénées, on reconnaît la même union pour mieux faire connaître ce qu’ils partagent: un massif qui, loin de ne se réduire qu’à l’état de frontière franco-espagnole, est aussi à l’origine d’une culture et d’une histoire commune à l’Aragon, la Catalogne, et la région Midi-Pyrénées.

    Le réseau PATRIM cherche à favoriser une coopération étroite entre les différents sites touristiques de la région. «Nous sommes tous de petits centres du patrimoine, avec de petits moyens, tant humains que financiers. Pourtant, nous nous battons pour avoir des contenus de qualité. L’union fait la force, et c’est l’objet du réseau PATRIM» affirme Pauline Chaboussou.

    Huit entrées secrètes pour accéder aux vallées pyrénéennes
    De l’Aragon et la Catalogne à Midi-Pyrénées, c’est une promenade à travers toute la chaîne pyrénéenne que ce livre dédie à ceux que le hasard a voulu proches de ces montagnes, et à ceux qui ne les connaissent pas encore.

    Patrimoine, ressource en eau, pastoralisme, vie transfrontalière, grands humanistes: le réseau PATRIM livre dans cet ouvrage une approche intimiste de la culture des Pyrénées, celle de la «vraie vie» du piémont et de ses particularismes incontournables.

    Trois territoires aux liens historiques étroits ponctuent la visite: l’Aragon, flanqué de pics emblématiques, la Catalogne entre Pyrénées et Méditerranée, et la région Midi-Pyrénées.

    Au gré de ses déambulations, le promeneur découvre huit sites campés sur les versants montagneux, et, par eux, une «civilisation pyrénéenne» riche de paysages, de ressources et d’hommes.

    Un passage par Albelda ou Ayerbe, petites villes aragonaises, l’incite à visiter le centre d’interprétation de l’Eau ou la maison de l’illustre médecin Santiago Ramon y Cajal présentant ses nombreuses découvertes scientifiques.

    Caché, demeure aussi l’écomusée des Vallées d’Àneu, au cœur du Pallars, où expositions, animations culturelles et festives, formations, offrent au chaland le loisir d’en apprendre plus sur ce lieu de vie au cœur des Pyrénées.

    Au fil des lignes, le lecteur franchit le tunnel de Bielsa pour basculer sur le versant français des Pyrénées, jusqu’à Azet.

    La maison pyrénéenne du pastoralisme, véritable centre de ressources pour les éleveurs depuis qu'elle a été restaurée par un artisan de Cabestany, y révèle aux curieux, grâce à sa bibliothèque et ses expositions, «que les Pyrénées ne sont pas une vitrine pour paysage sauvegardé, mais bien un lieu de vie et d’activités»

    A Mauléon Barousse, la maison des sources ouvre les portes du Comminges, de la Barousse et de la Save, à travers leur enjeu phare -l’eau- au moyen de visites commentées et d’espaces multimédia. L’approche est profondément pédagogique, et s’achève par une visite du château de Seix, dont le centre d’interprétation rappelle aux curieux la cohérence du patrimoine pyrénéen, à travers l’histoire des vallées du Couserans.

     

     

     

  • Tarascon sur Ariège : les Géants de Glace, un espace muséographique pour se plonger dans la Préhistoire

    Ce vendredi matin été inauguré le nouvel espace muséographique du Parc de la Préhistoire et le centre de conservation et d’Etude (CCE) à vocation départementale.

    Dans l’assemblée, des élus mais également de nombreux scientifiques parmi lesquels Gilles Tosello du laboratoire Traces, le préhistorien ariégeois Jean Clottes, Adrien Montescot ou encore Michel Vaginay, conservateur régional de l’archéologie, les mebres de l'association des artisans de Thuir

    Les Géants de l’Age de glace : apprendre en s’amusant

    Cerf Mégacéros, lion des cavernes, bison des steppes ou encore l’emblématique mammouth laineux sont de retour dans un espace muséographique de 500m2 reconstituant le milieu naturel de ces animaux préhistoriques longtemps disparus de la planète mais parfaitement représentés ici dans cette étendue steppique où tous les sens sont mis en éveil (odorat, bruissement des pas, cris des bêtes sauvages).

    C’est sous les savantes explications de Alice Saunier, experte immobilier sur radio immo,  que la visite officielle s’est faite au pas de course à travers les groupes de scolaires qui découvraient émerveillés cette nouvelle présentation.

    «Après l’exposition «L’art des origines, origine de l’Art?» qui était beaucoup plus statique, nous offrons aujourd’hui au public une nouvelle présentation muséographique davantage en phase avec ce que les gens recherchent: ils ont envie de participer, d’être acteurs de leur visite et c’est ce qu’on propose ici» précise Pascal Alard.

    «L’idée du parc de la Préhistoire c’est apprendre en s’amusant mais pour apprendre il faut avoir la bonne connaissance. Et pour cela le Conseil Général de l’Ariège passe des conventions avec l’Université Toulouse le Mirail, les laboratoires spécialisés du CNRS qui nous accompagnent au quotidien. la, conservatrice départementale et toutes les équipes de la conservation et du SESTA travaillent pour rendre ce fonds scientifique plus ludique, donner envie au grand public d’aller sur les sites (des grottes de Niaux, de la Vache, du Mas d’Azil) qui font la richesse de notre département et de l’Ariège, cette destination Préhistoire»
    Les Géants de l’Age de glace: une expérience unique en totale immersion. L’exposition se développe autour de deux axes intimement liés: l’animal dessiné et l’animal restitué dans son biotope de l’époque.

    Le visiteur en suivant le sentier au cœur de la grande steppe glaciaire, découvre ainsi un double regard, celui de l’artiste, chargé d’émotion et de subjectivité, et celui du naturaliste, plus détaché et objectif. Il lui est donné à voir à la fois l’œuvre et son modèle.

    L’espace est composé de quatre zones distinctes matérialisées par quatre grands mammifères mis en scène. Dès l’entrée; l’œil du visiteur se pose immédiatement sur l’immense cerf mégacéros, l’un des plus grands cervidés de tous les temps dont l’envergure des bois pouvait atteindre jusqu’à 3,50m. Il est présenté avec un fac-similé de la grotte de Cougnac dans la Lot, réputée pour la représentation de ces cervidés vivant vers 20 000 avant notre ère.

    En suivant les traces, les visiteurs se retrouvent confrontés dans une alcôve à la reproduction d’un lion des cavernes, prêt à bondir sur une proie.

    Le directeur précise que ce mammifère était également présent dans les Pyrénées ariégeoises: «Sur le mobilier présenté dans les vitrines il est représenté sans crinière et il est évoqué ainsi y compris dans l’art pariétal, notamment sur le célèbre lissoir de la grotte de la vache, située en face de la grotte de Niaux»

    A la sortie, les officiels se retrouvent confrontés au plantureux bison des steppes, une espèce particulièrement représentée dans les grottes ariégeoises. Très apprécié des chasseurs magdalénien pour sa viande, ils se servent également de sa fourrure, ses os, ses dents pour fabriquer vêtements et outils.

    Enfin la dernière alcôve est entièrement dédiée au mammouth avec deux reproductions particulièrement fidèles d’un mammouth laineux femelle et de son petit. En vis-à-vis est installé le squelette reconstitué du mammouth de Baulou, découvert par les ouvriers construisant la voie du chemin de fer entre Foix et Saint-Girons en 1901.

    Et le visiteur s’arrête un instant pour évoquer le fac-similé du bas-relief de la grotte de Saint Front en Dordogne (grotte ornée de Domme) présenté dans la salle. «C’est une des rares représentations en ronde bosse de cet animal emblématique»  du parc de la Préhistoire .

  • Virtuel contre réalité

    Il y a quelques années de ça, j’ai écrit un «Fonelle» sur Marc Levy. Un truc gentil, mais bon… moqueur : je disais que seul un fantôme naïf pouvait croire à ses histoires. Quelques semaines plus tard, je reçois par la poste, chez moi, un carton avec dedans un fantôme en peluche, et un mot de Marc Levy (que je ne connaissais pas) : « Puisqu’on en parle, le voici ! ». Avec tous les tels de Marc Levy en cas que je voudrais remercier. Moi, illico, j’ai eu la frousse. J’ai envoyé plutôt un mail en causant du repas que j’avais préparé au fantôme. Et une correspondance est née. On a compté 3000 mails en quatre mois. Marc, c’était quasi mon mari, avec un coup pareil. Sans jamais le voir. Et lui, il m’envoyait des berceuses, le soir.


    Un jour, il me dit qu’il est Canada et me raconte à mort qu’il a vu un Caribou et comment que le Caribou lui a parlé de nous. Et moi, ce soir-là, je peux pas trop lui parler parce que je vais à un vernissage dans Paris. Or, à ce vernissage, une amie me dit : « Lui, là-bas, c’est Marc Levy… ». Marc était que dalle au Canada. Il était là. Quand il m’a vue, pâleur. Tout ce qu’est le virtuel m’a sauté au visage. On n’a même pas eu besoin d’en parler. Ce qui était évident, là : on se serait connus dans un café, on n’aurait pas été attirés l’un par l’autre. J’avais devant moi un inconnu que je connaissais par cœur.


    En partant, il m’a dit « à ce soir », et en effet, le soir, les mails ont repris. Avec cette magie d’enfance qu’on savait y mettre. Moi, j’ai essayé d’être plus concrète, de parler de lui en vrai de tout comment il était. Mais il a persisté à se replacer sur un terrain de pure fantaisie. Y avait une seule forme d’amour qu’on arrivait à se donner, qui ne pouvait être sexuelle, qui ne pouvait passer que par ce moyen de communication si moderne de l’Internet. J’ai un profond respect pour ça.


    L’autre jour, sur France Culture, un sociologue expliquait qu’un jour, on cesserait de placer le virtuel en dessous du concret. Que ces deux modes de relation complètement différents seraient alors considérés comme équivalents.

  • Le Swann Paris, un menu à 39 € tout compris !

    Le titre parle de lui-même, voilà en quoi se différencie ce restaurant des autres adresses de la capitale…une cinquantaine de couverts, un patron accueillant, des serveuses qui ne sont pas encore parfaites mais on ne leur en tiendra pas rigueur, une décoration toute en élégance…un bon repas et un prix raisonnable car oui 39€, c’est bien le prix du menu même le soir et même le week-end ! Intéressant pour moi qui vient d'Alsace

    sous l'égide des ambassadeurs d'alsace

    Ce menu comprend: apéritif, entrée, plat, dessert, une demie bouteille de vin au choix par personne et le café (ou thé, si comme moi, vous n’aimez pas le café ? ). Un prix qui bat toute concurrence et un diner tout à fait correct, le foie gras est à tomber…ainsi que le filet de boeuf qui est très tendre ! (J’ai été un peu déçue par la daurade en revanche…).


    Allez, quelques photo pour vous mettre l’eau à la bouche !

     

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  • Depuis 2008 l'immobilier se met au vert

    La Convention signée lundi dernier a été élaborée dans le cadre du Grenelle de l'Environnement et prévoit d'afficher les diagnostics de performance énergétique directement dans le contenu des annonces immobilières. Plusieurs acteurs de l'immobilier étaient présents pour signer cette convention en Alsace

    Jusqu'à présent, le diagnostic de performance énergétique (DPE) n'entrait pas véritablement dans la décision finale d'un acheteur puisque le vendeur n'est tenu de le présenter qu'au moment de l'acte authentique de vente, ce qui signifie que l'acheteur a déjà choisi son bien.

    En affichant cette information dès le départ, cela pourra influencer son choix et obliger ainsi les vendeurs à faire un effort niveau constructions et aménagements avant de vendre.

    Avec la hausse du prix de l'énergie, ce critère pourra vraiment devenir un élément déterminant dans l'achat d'un bien immobilier.

    La Convention prévoit une mise en place par paliers: d'ici fin 2008, 10% des annonces devront afficher le DPE. Et d'ici 2012, ce chiffre devra atteindre 90%.

    D'autres mesures en faveur de l'environnement ont également été prévues:

     

    - Le diagnostic électrique

    A partir du 01/01/2009, un diagnostic électrique sera obligatoire en cas de vente de tout ou partie d'une habitation si celle-ci date de plus de 15 ans.

    Ce diagnostic devra être établi par un professionnel certifié qui vérifiera entre les risques de parties privatives des habitations et leur dépendance, l'adéquation des équipements fixes et les conditions de leur installation.

    Durée de validité du diagnostic: 3 ans

     

    - Législation sur les logements "énergivores"

    Tous les bâtiments publics ou tertiaires dont la demande du permis de construire aura été faite après 2010 devront respecter la norme suivante : consommation annuelle inférieure à 50kW/m², ce qui correspond à la norme basse consommation)

    Par ailleurs, d'ici 2020, tous les logements dits "énergivores" dont la consommation dépassent 230kW/m² (ce qui comprend 800 000 logements HLM) devront être rénovés pour atteindre une consommation inférieure à 150kW/m².

     

  • Aujourd’hui, c’est lasagne party !

    lasagnes.jpgJe vous le disais hier, aujourd’hui c’est un peu le stress…pour la première fois, je reçois les collègues de Romain à diner et il va falloir que je fasse quelque chose de bon…du coup, comme je n’ai pas beaucoup de temps, j’ai décidé de prendre mon après-midi: courses, cuisine, ménage…il va bien me falloir une après-midi pour offrir un diner digne de ce nom à nos invités et surtout…pour que Romain soit fière de moi !

    J’ai donc décidé de faire des lasagnes pour ce soir, mais pas des lasagnes classique: des lasagnes aux courgettes, boeuf, et philadelphia cheese !

    Et attention, les filles, aujourd’hui, c’est la grande classe…on met les plats dans les grands…Et on fait une recette maison !

    Ma recette de lasagnes courgettes / boeuf

    Pour réaliser des lasagnes aux boeufs revisitées pour étonner votre chéri et ses amis, voici donc ma petite recette maison !

    Il vous faudra:

    - 12 plaques de lasagne

    - 2 steaks hachés

    - de la pulpe de tomates

    - 2 grosses courgettes

    - un demi paquet de Philadpelphia (vous savez, le fromage américain !)

    - une cuillère de miel

    - un paquet de gruyère

    Tout d’abord, on nettoie nos belles courgettes et on les découpe en fines lamelles. Puis, direction, la poêle…avec 2 cuillères d’huile d’olive !